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Du 13 au 15 décembre, Washington accueille le sommet Afrique-Etats-Unis. Le Polisario n’est pas sur la liste des invités du président Joe Biden.Ce rendez-vous des dirigeants africains signera une nouvelle douche froide pour l’Algérie et l’Afrique du sud qui verront les limites de leurs manigances.
Un porte-parole du Conseil de sécurité US a révélé les critères que le président américain Joe Biden a utilisé pour inviter les gouvernements africains au Sommet. Il y en a trois.
Le président Biden a invité tous les gouvernements subsahariens et nord-africains qui n'ont pas été suspendus par l'Union africaine, que le gouvernement américain reconnaît et avec lesquels les USA échangent des ambassadeurs.
« Je me réjouis d’accueillir des dirigeants de l’ensemble du continent africain à Washington, du 13 au 15 décembre 2022, à l’occasion du sommet des dirigeants États-Unis–Afrique. Le sommet démontrera l’engagement durable des États-Unis envers l’Afrique et soulignera l’importance des relations entre les États-Unis et l’Afrique, ainsi qu’une coopération plus étroite sur les priorités mondiales communes », avait déclaré le président américain le 20 juillet.
Les États-Unis qui reconnaissent la plupart des nations africaines, à l'exception des fake states dont ce qui est appelé « Sahara occidental ». Pas de siège donc pour le Polisario. L’avion présidentiel algérien restera au hangar.
Pour la énième fois, le régime algérien prend une claque de la première puissance mondiale, qui soutiennent l’intégrité territoriale du Maroc et sa souveraineté sur ses provinces du sud. Les États-Unis a reconnu sous le mandat présidentiel de Donald Trump la marocanité du Sahara et annoncé l’ouverture d’un Consulat à Dakhla. Cette position a été confirmée et perpétuée par l’administration Biden.
USA adopte souvent une position ferme vis-à-vis des pays ayant subi des coups d’Etats ou vis-à-vis des milices séparatistes se présentant comme des Etats indépendants.
