Le PJD se bat sur deux fronts : opposition à la motion de censure et candidature à la présidence de la Chambre
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Le PJD a rendu publique sa position concernant la proposition de motion de censure au sein de la Chambre des Représentants, ainsi que le processus d'élection du président de la Chambre pour la deuxième moitié de la législature actuelle.
Selon un communiqué de presse reçu par Belpresse, le Secrétariat Général du parti a pris la décision de ne pas participer à la motion de censure proposée par un parti d'opposition de manière unilatérale, accompagnée de la diffusion d'informations erronées sur de prétendus accords. Cette décision fait référence au Parti de l'Union Socialiste des Forces Populaires (USFP).
Le PJD a réaffirmé que son groupe parlementaire continuera à assumer pleinement son rôle d'opposition, comme il l'a fait depuis le début de la législature. Le parti a souligné ses actions concrètes à travers des interventions, des communiqués et des conférences pour contester les décisions et choix "erronés" du gouvernement, dénoncer les cas de conflits d'intérêts et défendre les valeurs et les intérêts de la nation marocaine, ainsi que ceux des citoyens.
Concernant l'élection du président de la Chambre des Représentants, le Secrétariat Général du PJD a décidé, à la majorité, de présenter la candidature d'Abdellah Bouano au nom du parti pour la deuxième moitié de la législature. Cette décision vise à exprimer clairement la position du parti vis-à-vis de ce processus électoral.
Le PJD se positionne comme une force d'opposition constructive, s'engageant à défendre ses convictions et à œuvrer pour l'intérêt du Maroc et de ses citoyens. La candidature de Bouano à la présidence de la Chambre représente une volonté de poursuivre ce combat au sein de l'institution parlementaire.