Révélation choquante : divulgation des photos intimes des jeunes femmes marocaines via Telebox Snapchat, affaire qui secoue le Maroc "vidéo"
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Ces dernières heures, un scandale de fuites de fichiers a déclenché une controverse au Maroc. Il est devenu le sujet de discussion sur les réseaux sociaux et a dominé les tendances après que Amine Raghib un expert en logiciels et en sécurité numérique a révélé qu'une opération de piratage avait permis d'obtenir des milliers de photos de jeunes femmes marocaines dans des situations compromettant leur dignité.
Il semble que ces photos aient été obtenues après le piratage des téléphones des activistes sur le réseau social Snapchat ou à partir des caméras vidéo installées dans les maisons et les villas, comme l'a expliqué l'expert dans une vidéo qu'il a publiée sur son compte personnel en direct. La vidéo, qui parle des fuites de données sur Snapchat au Maroc, a fait sensation et a été largement partagée.
L'expert en médias sociaux Raghib Amine a révélé sur les réseaux sociaux l'existence de ce qu'il a décrit comme d'énormes "fichiers" contenant des photos et des vidéos compromettantes de jeunes femmes marocaines, confirmant que les photos et les vidéos qui circulent actuellement ne représentent qu'une petite partie du contenu piraté. Il a également confirmé que les téléphones des activistes sur Snapchat avaient été compromis et que de nombreuses photos avaient été téléchargées.
Selon l'expert, le piratage des téléphones personnels a été rendu possible par le téléchargement aléatoire d'applications et de liens inconnus, sans respecter les mesures de sécurité et de protection des données personnelles constamment recommandées.
Il a également expliqué que certaines maisons et villas équipées de caméras de surveillance sont louées pour des fêtes et événements privés, et que ce qui se passe à l'intérieur de ces lieux est filmé à l'insu des personnes concernées, ce qui conduit ensuite à la diffusion de ce contenu sur les réseaux sociaux.
Il a également mentionné que des femmes algériennes étaient impliquées dans ces fuites, précisant que les photos divulguées portaient la véritable identité de leurs propriétaires.