Dans une intervention à l’assemblée générale de l’ONU, António Guterres, Secrétaire général a mis l’accent sur l’approche du Ramadan ainsi que les vertus de ce mois sacré qui est l’un des cinq piliers fondamentaux de l’Islam. A cet effet, le SG de l’ONU a abordé la question des réfugiés tout en s’inspirant d’une sourate du Coran. Un appel et en même temps un rappel à toute la communauté internationale de prendre en considération la situation de ces personnes qui fuient la guerre et demandent asile ailleurs. Une invitation à une solidarité et à une ouverture des frontières pour que ces réfugiés puissent surmonter la douleur de cette double déchirure causée par la guerre dans leur pays où ils ont tout perdu et n’espèrent qu’à une seule chose : trouver un peu d’affection et chaleur humaine pour panser des blessures profondes qui les accompagneront pour la vie.
Ainsi, le Coran nous apprend à venir en aide à autrui quelle que soit sa vocation religieuse, son identité ou son origine puisque toute l’humanité est l’œuvre d’Allah, le tout puissant et le créateur de ce vaste univers.
ML