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David Aronson, expert américain et membre du centre de recherche "The Heritage Foundation" basé à Washington, a affirmé que la réaffirmation par les États-Unis de leur reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara constitue « un message fort qui consacre la réalité et la vérité sur le terrain » et « ouvre la voie à la paix et à la stabilité régionales ».
Dans une déclaration à l'Agence Marocaine de Presse (MAP), réagissant à la confirmation par Washington de son soutien à la souveraineté marocaine, consolidant ainsi la position exprimée par le président Donald Trump au Roi Mohammed VI, M. Aronson a souligné que cette annonce « puissante » ravive la dynamique positive initiée notamment par l’accord tripartite de 2020 et « pave la voie à une ère de paix et de stabilité régionales ».
Lors d'entretiens tenus mardi à Washington entre le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, et le secrétaire d'État américain Marco Rubio, ce dernier a réaffirmé que « les États-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara ».
M. Aronson a rappelé que sous la présidence de Donald Trump, les États-Unis avaient reconnu la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara, un mouvement suivi depuis, selon lui, par de nombreux autres pays.
Le chercheur au sein de l'influent think tank américain a également estimé que les relations maroco-américaines, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et du président Donald Trump, « augurent d'un avenir prometteur ».
Il a relevé à cet égard que les deux nations « partagent des intérêts et des valeurs communes, notamment un attachement profond à la paix, à la sécurité et à la prospérité ».
M. Aronson a en outre rappelé que « le Maroc fut la première nation à reconnaître l’indépendance des États-Unis en 1777 » et demeure « le seul pays africain à avoir signé un accord de libre-échange avec Washington », soulignant que cette relation « étroite poursuivra sans nul doute son essor dans tous les domaines ».
Spécialiste des affaires du Moyen-Orient, il a enfin qualifié l’accord tripartite ainsi que les exercices militaires African Lion de « modèles exemplaires de cette coopération fructueuse ».