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Depuis Guelmim : Bouaida critique la « perturbation des opposants » et justifie son silence ‘video’

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La présidente de la région de Guelmim-Oued Noun, Mbarka Bouaida, a attaquée ses opposants dans la région en utilisant l’expression « la caravane avance et les chiens aboient », les accusant de « perturber ses réalisations » en propageant des erreurs parmi les citoyens, rendant difficile la réalisation de plusieurs projets dans la région.

Bouaida, qui s’exprimait, ce samedi, lors de la huitième étape des réunions du forum régional des élus du Parti de l’RNI dans la région de Guelmim-Oued Noun, en présence du président du parti Aziz Akhannouch, a affirmée que sa région se porte bien aujourd’hui, « malgré les nombreuses perturbations vécues par les affiliés dans la région », soulignant le soutien du parti et de son président pour surmonter « la crise de blocage ».

La porte-parole a précisée que son silence face aux perturbations des adversaires « n’est pas un signe de satisfaction ou de faiblesse, mais une traduction de l’expression : la caravane avance… », (sans terminer l’expression), confirmant que la vérité est que la région de Guelmim-Oued Noun s’est engagée de manière significative sur la voie du développement, précisant que sa région est parmi les premières à avoir approuvée et communiquée son programme de développement.

Elle a expliquée que la région a conclu des partenariats solides et structurés dans le cadre de l’amélioration du développement dans la région, y compris un partenariat de 1,5 milliard de dirhams pour l’équipement et les routes, et le lancement de faculté de médecine de Guelmim. Elle a ajouté que la région a fait des progrès et qu’elle est en train de les activer, mais qu’il y a malheureusement des perturbations qui compliquent les choses, selon ses termes.

Mme Bouaida a appelé le président du parti et le gouvernement à réaliser un meilleur équilibre sectoriel et à traiter certaines régions différemment pour améliorer leur niveau et rattraper leur retard, notamment la région de Guelmim-Oued Noun, ajoutant : « Nous demandons qu’il y ait un programme spécial pour la région de Guelmim-Oued Noun : « Nous demandons qu’il y ait une vision spéciale pour ces régions, un soutien fort et une révision des capacités financières des autorités locales, car toutes souffrent de déficits ».

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