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Les élections de 2021 au Maroc ont été marquées par le succès indéniable du parti du Rassemblement National des Indépendants (RNI) conduit par son président Mr. Aziz Akhannouch, nommé par la suite chef du gouvernement. Un poste qui l’a mis face à des défis grandioses issus d’une conjoncture difficile et d’un renversement de l’ordre mondial.
Parler du nouveau chef du gouvernement Mr.Aziz Akhannouch nous met en face d’un homme d’un courage, d’une audace et finalement d’une sagesse indéniables. Un homme aux nerfs d’acier et qui a pu en dépit des circonstances difficiles, faire preuve d’un pragmatisme hors du commun. En effet, face à un climat politique tendu tant à l’échelle nationale qu’internationale, d’une crise énergétique issue de la guerre en Ukraine, d’une sécheresse qui sévit le pays et menace le secteur agricole et finalement d’un impact du Covid-19 qui continue à peser sur la politique budgétaire du pays, il a fallu un homme qui sait comment contourner ces problèmes et trouver des solutions adéquates pour une relance de l’économie nationale dans une bonne continuité.
C’est certes un grand challenge voire même une course contre les pendules de l’heure puisque les changements ne cessent de chambouler les décisions et les relations tant au niveau régional qu’mondial. C’est d’ailleurs ce qu’on a vécu cette année avec l’attitude de certains pays comme la France et l’Espagne, la naturalisation avec Israël et la reconnaissance du Sahara Marocain par le Président américain sortant Donald Trump.
Tous ces événements ont donc nécessité une certaine position ferme d’un chef du gouvernement pour un succès de la diplomatie marocaine qui ne cesse de gagner du terrain d’une part et une optimisation de l’ouverture du pays à l’investissement étranger d’une autre part. D’ailleurs, la preuve, c’est le secteur de l’automobile dont le Maroc est classé premier au niveau du continent. Or, il n’y a pas que le secteur automobile puisque le Maroc vient de lancer un grand projet au niveau agricole qui est « the green generation », une mise à niveau de certaines villes du royaume comme Agadir, l’extension du réseau ferroviaire et routier et finalement l’innovation du secteur touristique.
Tous ces défis ont été gérés avec efficacité par le nouveau chef du gouvernement malgré certaines critiques et une campagne acharnée contre lui sur les réseaux sociaux.
Cependant, ne doit-on pas regarder la vérité en face et prendre en considération cette conjoncture difficile ? Ne doit-on pas être fier de la voie que suit le Maroc sous les directives de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le gouvernement présidé par Aziz Akhannouch ?
Enfin, seul le temps est juge et il faut laisser maintenir un positivisme si on veut atteindre n’importe quel objectif.
M.L