Akhannouch souligne l'efficacité des programmes sociaux et des réformes lors d'un meeting à Guelmim-vidéo
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Le président du parti Rassemblement national des indépendants, Aziz Akhannouch, a affirmé, aujourd'hui à Guelmim, que la mise en oeuvre des programmes sociaux supervisés par le roi Mohammed VI, y compris les aides sociales directes, est soumise à des critères de "raison" et de "transparence".
Il a souligné qu'"en se référant aux lois qui les régissent, on peut identifier clairement ceux qui en bénéficieront et ceux qui n'y ont pas droit".
Akhannouch a ajouté, lors de la huitième étape des réunions du Forum régional des élus du Rassemblement national des indépendants dans la région de Guelmim-Oued Nouna, ce samedi, que le gouvernement n'a pas attendu la fin du mandat pour mettre en œuvre ces programmes et les utiliser lors des élections. Au contraire, il s'est employé à les mettre en œuvre dès le départ, car les Marocains ont besoin de ces ressources financières pour améliorer leur situation.
S'adressant à une foule d'élus de son parti dans la région de Guelmim-Oued Noun, le leader du RNI a déclaré que son gouvernement, qui travaille de manière cohérente, a fait des efforts sérieux et raisonnables au cours des deux dernières années pour mettre en œuvre des programmes sociaux, dont le dernier en date est le soutien social direct, qui sera distribué à la fin du mois de décembre de cette année.
Akhannouch a ajouté que son gouvernement continue à mettre en œuvre l'État social tel que souhaité par le Roi, en réalisant des investissements importants dans le domaine de la santé, ainsi que dans le secteur de l'éducation nationale, soulignant que "la réforme est toujours difficile, mais elle nécessite du courage car nous voulons changer les choses pour le mieux, afin que les Marocains et leurs familles trouvent ce qu'ils veulent en matière de santé et d'éducation".
Il n'a pas manqué l'occasion de parler de l'aide au logement, qu'il considère comme un programme très important. Chaque citoyen peut devenir propriétaire d'un logement d'une valeur de 280.000 dirhams, soutenu par l'Etat à hauteur de 100.000 dirhams, soit plus d'un tiers. En outre, la classe moyenne peut acquérir un appartement de 700 000 dirhams, également soutenu par l'État.