Le Roi Mohammed VI a reçu une lettre du Premier ministre de l’Etat d’Israël, Benjamin Netanyahu, indique ce lundi un communiqué du Palais Royal.
« Par cette lettre, le Premier ministre israélien a hissé au Haut Drapeau de Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, la décision de l’Etat d’Israël de reconnaître la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara », précise le communiqué.
A cet égard, le palais royale a ajouté : « Le Premier ministre israélien a confirmé que la position de son pays sera incarnée dans toutes les actions et documents pertinents du gouvernement israélien ».
La lettre a également souligné que « les Nations Unies, les organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi que tous les pays avec lesquels Israël entretient des relations diplomatiques seront informés de cette décision ».
Dans sa lettre au roi Mohammed VI, le Premier ministre israélien a déclaré « qu’Israël envisage positivement l’ouverture d’un consulat dans la ville de Dakhla, dans le cadre de la consolidation de cette décision d’État ».
Voici le texte d'un communiqué du Cabinet Royal :
« Sa Majesté le Roi Mohammed VI a reçu un message du Premier ministre de l’Etat d’Israël, Son Excellence M. Benjamin Netanyahu.
Par ce message, le Premier ministre israélien a porté au Haut Drapeau de Sa Majesté le Roi, que Dieu l’assiste, la décision de l’Etat d’Israël « de reconnaître la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara marocain ».
A cet égard, le Premier ministre israélien a souligné que la position de son pays sera incarnée dans toutes les actions et documents pertinents du gouvernement israélien. Il a également souligné que « les Nations Unies, les organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi que tous les pays avec lesquels Israël entretient des relations diplomatiques » seront informés de cette résolution.
Dans sa lettre à Sa Majesté le Roi, le Premier ministre israélien a déclaré qu’Israël envisageait positivement « l’ouverture d’un consulat dans la ville de Dakhla », dans le cadre de la consolidation de cette décision d’État.