Ce 24 juillet 2025, le nombre de morts dus à la famine forcée imposée par les forces israéliennes à Gaza a atteint officiellement 113 victimes, selon les autorités locales . Cette tragédie, qualifiée de « crime humanitaire », suscite une onde de choc sur la scène internationale.
Les ONG alertent sur l’urgence de la situation : Gaza a besoin chaque semaine d’au moins 500 000 sacs de farine, selon le Government Media Office local . Sans l’ouverture des points de passage et un acheminement massif d’aides alimentaires, la population—notamment les enfants et personnes âgées—risque une aggravation de la crise humanitaire.
Le constat dépasse la simple question alimentaire : il s’agit également d’un effondrement des infrastructures de santé, d’eau et d’assainissement. Le recours à une stratégie de famine vient compléter des bombardements et restrictions systématiques qui privent Gaza de toute résilience .
Dans les chancelleries, la tension monte : certains pays appellent à l’ouverture immédiate des fronts humanitaires, d’autres évoquent l’examen très prochain d’une résolution de l’ONU pour imposer des corridors alimentaires protégés. L’urgence est un message clair : le temps des petits gestes a disparu, seule une action coordonnée pourrait éviter l’effondrement complet.
Cette situation illustre tragiquement les conséquences extrêmes d’un blocus prolongé. Gaza entre dans une période critique, où la non-intervention signifierait l’aval implicite à une catastrophe humanitaire de grande ampleur. L’heure est à la mobilisation sans délai des acteurs internationaux.