L’ex-partenaire d’Achraf Hakimi exigerait un accord financier de 11 millions de dollars pour son divorce

Les rumeurs et les spéculations continuent de faire le tour de la séparation du footballeur marocain Achraf Hakimi et de l’actrice hispano-tunisienne Hiba Abouk. Selon la dernière rumeur en date, l’ex-compagne du footballeur marocain exigerait un accord financier de 10 millions d’euros, soit 11 millions de dollars.

Plusieurs médias espagnols, dont Marca et AS, ont rapporté l’information, affirmant que l’équipe juridique d’Abouk exigeait 10 millions d’euros, tandis que le joueur de football ne proposait de payer que 2 millions d’euros. Selon Marca, l’actrice a décidé de porter plainte contre Hakimi pour « fraude et mauvaise gestion de leur patrimoine conjugal ».

Ces informations ont été publiées alors que l’on suggère que la star du PSG a transféré sa fortune sous le nom de sa mère, Saida Mouh. Mais la mère du footballeur a démenti ces allégations, suggérant qu’elle n’était pas au courant de telles actions « S’il a pris des mesures pour protester, je ne suis pas au courant », a déclaré la mère au début du mois. « Quel est le problème si la nouvelle est vraie ? Si mon fils ne le fait pas, il ne pourra pas se débarrasser de cette femme », a-t-elle ajouté.

Ces rumeurs sur Hakimi et Abouk ont éclaté lorsque Marcha a rapporté le 14 avril que l’actrice tunisienne demandait la moitié de la fortune de la star du PSG dans le cadre de leur accord de séparation. Le média a ajouté qu’Abouk avait été étonné de découvrir que Hakimi n’avait rien à son nom, suggérant que la mère de Hakimi recevait son salaire sur son compte bancaire.

De nombreux rapports ont toutefois contesté ces rumeurs, décrivant les rapports comme étant faux puisqu’ils définissent les nouvelles comme étant des faux rapports. La semaine dernière, le journaliste français Gilles Verdez a commenté ces rumeurs en déclarant que les informations selon lesquelles Hakimi aurait transféré ses biens au nom de sa mère étaient « fausses ». « Cela ne serait pas possible, ni au Maroc, ni en Espagne, ni en France », a-t-il ajouté.

Abouk a confirmé sa séparation d’avec Hakimi le 27 mars, alors que le footballeur faisait l’objet d’une enquête de la police française dans le cadre d’une affaire de viol présumé. La confirmation d’Abouk est venue sous la forme d’une plainte qu’elle a déposée contre le footballeur après qu’une femme de 24 ans l’a accusé de l’avoir violée dans sa maison alors que sa femme et ses deux enfants étaient partis en vacances.

L’équipe juridique de Hakimi a fermement rejeté les accusations portées contre lui, suggérant que le footballeur était « victime d’une tentative d’extorsion ». « A mon avis, il ressort des documents en possession de la police judiciaire que M. Hakimi, dans cette affaire, fait l’objet d’une tentative d’extorsion », a déclaré l’avocate de M. Hakimi, Fanny Colin, citée par Marca.

Bien que la nouvelle de sa séparation avec Hakimi ait été annoncée dans la foulée de l’enquête sur l’affaire de viol présumé, Abouk a souligné que leur décision de divorcer avait été prise bien avant la controverse sur le viol.