Après l’humiliation de « Tebboune », des rapports font état de la possibilité d’un bouleversement politique en Algérie

Les conflits internes au régime algérien ont atteint leur paroxysme juste après la visite de l’imposteur président « Tebboune » en République du Portugal, suivie par des scandales que le peuple algérien n’a pas du tout acceptés.

La décision du Président Abdelmadjid Tebboune de se rendre à Moscou plutôt qu’à Paris comme prévu a soulevé de nombreuses questions sur les relations qui ont atteint le point de rupture entre le Palais de la Mouradia et Paris.

Parallèlement aux revers diplomatiques devenus synonymes de « chaos », en raison des échecs sur la scène internationale, des indices de lutte entre factions ont émergé au sein de l’institution militaire algérienne, après que certains médias ont rapporté l’arrestation de dix personnes à Alger, dont des officiers du renseignement, pour des accusations floues.

Outre les revers diplomatiques devenus synonymes de « chaos » en raison des échecs sur la scène internationale, des soupçons de lutte entre factions sont apparus au sein de l’establishment militaire algérien, après que certains médias ont rapporté l’arrestation de dix personnes à Alger, dont des officiers de renseignement, sur la base d’accusations floues.

Les observateurs craignent une accélération des assassinats et des arrestations touchant les casernes militaires et les services de renseignement de l’armée algérienne, car leurs généraux craignent pour leurs privilèges, leur influence et l’exploitation des richesses et des ressources du pays, ce qui les incite à adopter une politique de terre brûlée avec une mentalité « après moi, le déluge ».

Dans cette scène misérable du pays des gangs, les choix flous du président concernant les modifications qui ont touché des dizaines de postes (dont 13 ministères en un court laps de temps) ont été mis en évidence. Le dernier en date étant le limogeage du ministre de la Communication, précédé de la destitution du ministre Lamamra sans indication de la part de l’armée.

Certains observateurs estiment que l’espoir du peuple algérien de sortir de sa situation désastreuse est encore suspendu à une seconde révolte populaire qui renverserait un régime militaire décadent et corrompu.

Cela se passe dans une société économiquement fragile, où des millions d’Algériens souffrent du chômage, et même ceux qui ont un emploi stable ne peuvent plus faire face à l’énorme inflation qui ravage le pays.

On peut donc s’attendre à ce que la prétendue puissance régionale soit témoin d’un scénario similaire à celui du Soudan, avec des développements graves qui ont causé de nombreuses victimes civiles, victimes des conflits entre les factions militaires.