Les raisons de l’annulation du déplacement du ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, à Alger ont suscité des discussions dans les cercles diplomatiques.
Les motifs incluent une déviation du protocole habituel lors des visites de ministres à Alger et l’insistance algérienne à mettre en avant le dossier du Sahara.
Albares souhaitait aborder des sujets tels que les mesures de l’Association des banques et des établissements financiers, la relance du Cercle de commerce et d’industrie algéro-espagnol, ainsi que des questions énergétiques, d’exportations, d’investissements et de coopération bilatérale.
Cependant, il a refusé de se compromettre avec un ordre du jour imposé par l’Algérie. Les récents commentaires favorables de Pedro Sánchez au Maroc ont suscité la colère algérienne, illustrant une diplomatie rigide centrée sur le Sahara. Les relations entre l’Algérie et l’Espagne semblent tendues, avec des signes de politiques étrangères questionnables de la part de l’Algérie.
