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La réalité des bœufs brésiliens qu’ils ont été en vadrouille dans les rues de Rabat

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Des sources officielles ont révélé que les bœufs apparus dimanche 9 avril dans les rues de Rabat ne sont pas destinés à la consommation dans les abattoirs où les citoyens achètent de la viande. Les mêmes sources ont rapporté, que l’affaire est liée à des veaux appartenant à un investisseur qui les a acquis dans le cadre d’un accord qui le réunit avec certaines institutions dans le cadre de transactions.

Les bœufs, qui ont fait une tournée à Rabat et soulevé l’inquiétude des citoyens, surtout après que les organismes professionnels avaient précédemment confirmé qu’il n’y avait pas de place pour la viande brésilienne dans la capitale, n’étaient pas sous la garde du massacre du conseil collectif, soulignant que les veaux « féroces » tels que ceux acquis par l’investisseur sont dirigés directement vers l’espace d’abattage, après avoir été sortis des camions, mais la personne responsable n’a pas pu garantir qu’ils ne se sont pas échappés.

La raison de la présence de ces bœufs dans le massacre d’Akkari à Rabat, malgré les discussions sur le boycott de ce type d’importateur par les professionnels, la même source a déclaré: « Les investisseurs se voient accorder des espaces destinés à l’abattage et au refroidissement, et paient des dépenses en échange de bénéficier de ces services; tandis que les bœufs destinés aux citoyens sont des viandes ordinaires qui ne sont pas différentes de celles qui ont toujours été abattues à Rabat, et il n’y a pas de kilogramme de bœuf brésilien vendu dans les abattoirs de Rabat. »

Les autorités ont pu contrôler les bœufs, qui se sont échappés immédiatement après l’entrée du camion à bord de l’abattoir, avant de les abattre le même jour.

Mohamed Siddiqui, ministre de l’Agriculture, de la Pêche, du Développement rural et des Eaux et Forêts, a récemment évoqué la qualité des bœufs brésiliennes, soulignant que la cargaison qui est entrée au Maroc est de l’excellente variété, et que le Maroc prévoit d’importer 20. 000 bovins de plusieurs pays, dont le Brésil, en plus de l’Espagne et de la France, pour préserver le cheptel national affecté par les saisons sèches et réduire le prix de la viande rouge localement.

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