Il n’est pas anodin que le journal Le Monde choisisse de relayer un discours de doute autour de l’image du roi Mohammed VI et de la stabilité de l’État marocain. Car derrière ce prisme médiatique se cache une réalité plus profonde : l’inquiétude de Paris face à la perte de son influence traditionnelle en Afrique, au profit d’un Maroc désormais puissance régionale et continentale.
Mohammed VI : l’homme de la stabilité et des réformes
Depuis son intronisation en 1999, le roi Mohammed VI a conduit des réformes qui ont fait du Maroc une exception dans une région marquée par les turbulences. Là où d’autres pays ont connu effondrements ou coups d’État, le Maroc est demeuré une oasis de stabilité politique, sociale et économique. Cette vérité n’est plus à démontrer : elle est aujourd’hui reconnue par les grandes institutions financières internationales et par les partenaires stratégiques du royaume.
Le Maroc, une puissance africaine qui dérange Paris
Le Maroc n’est plus le prolongement de la décision française en Afrique. Depuis son retour à l’Union africaine, Mohammed VI a entrepris des tournées diplomatiques couvrant plus de trente capitales, concluant des accords dans l’énergie, les infrastructures, l’agriculture et la sécurité.
Aujourd’hui, le Maroc est l’acteur incontournable du Sahel et du Sahara : partenaire central dans la lutte contre le terrorisme, moteur du développement économique et acteur influent dans la définition du futur du continent. Ce redéploiement légitime du Maroc a fragilisé les intérêts français, d’où la multiplication d’articles cherchant à semer le doute ou à inverser la réalité.
Des réalisations qui déconcertent le récit français
Infrastructures de rang mondial : le port Tanger Med classé parmi les plus grands au monde, le TGV Al-Boraq, premier train à grande vitesse du continent, ainsi qu’un réseau autoroutier et aéroportuaire moderne.
Transition énergétique pionnière : la centrale solaire Noor Ouarzazate et les projets d’hydrogène vert placent le Maroc au cœur de la mutation énergétique mondiale.
Diplomatie multipolaire : allié de Washington en matière de sécurité, partenaire de Moscou dans l’énergie, interlocuteur de Pékin dans l’investissement, acteur fiable pour les pays du Golfe, et toujours partenaire clé de l’Union européenne.
Le Maroc, une puissance qu’on ne peut plus ignorer
Ce qui dérange certains à Paris, c’est que le Maroc n’a plus besoin de leur médiation ni de leur tutelle. Rabat s’impose désormais dans tous les grands dossiers : migration, sécurité, investissements, transition énergétique. Le royaume n’est plus un pays secondaire mais une puissance ascendante respectée par les États-Unis, la Chine, la Russie, le Golfe et l’Afrique dans son ensemble.
Conclusion : l’inquiétude de Paris, preuve du succès marocain
La volonté de présenter le souverain marocain sous un jour négatif n’est rien d’autre qu’un masque médiatique qui cache une profonde crispation française devant l’essor d’un État qui a su stabiliser son modèle, bâtir sa force et s’imposer comme un acteur central en Afrique et dans le monde.
Et si Le Monde et d’autres voix paraissent troublées, c’est bien le signe que le Maroc, sous la conduite du roi Mohammed VI, avance dans la bonne direction : celle d’un État stable, en pleine ascension et incontournable dans la construction de l’avenir africain.