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La Délégation générale à l’administration pénitentiaire : « Reporters sans frontières » est impartiale et n’est pas apte à donner des leçons.

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La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion a révélé que « malgré la publication le 13 juin par l’administration de la prison locale de Tiflet 2 d’un rapport explicatif concernant les allégations du père du détenu (A.R.), détenu dans cet établissement dans le cadre d’une affaire de droit public, l’organisation française ‘Reporters sans frontières’ a refusé de remettre son nez dans le dossier de ce détenu », faisant référence à Omar Radi.

Dans un communiqué explicatif, la délégation explique que Reporters sans frontières a republié les mêmes allégations sur son site Internet « sans tenir compte des explications publiées par l’administration pénitentiaire, ce qui témoigne de sa mauvaise foi préméditée et de son hostilité ouverte au Royaume, alors qu’il s’agit d’une affaire de droit commun qui n’a rien à voir avec la liberté de la presse qu’elle prétend défendre ».

« L’idéologie d’extrême droite du fondateur et ancien président de cette organisation, la nature des relations et des partis qui animent le représentant de cette organisation en Afrique du Nord et sa forte hostilité à l’égard du Maroc ne sont un secret pour personne. En conséquence, cette organisation est devenue impartiale dans son traitement de toutes les questions relatives au Maroc, et n’est ni moralement ni professionnellement qualifiée pour donner des leçons au Maroc dans le domaine des droits de l’homme.

La même source a également souligné que « l’insistance à promouvoir les erreurs liées à la question des prisonniers susmentionnée, en conjonction avec les tentatives de certaines parties internes d’intimider les organisations externes qui manquent de crédibilité, ne découragera pas la Délégation générale de jouer pleinement son rôle dans l’application de la loi dans tous les établissements pénitentiaires sur un pied d’égalité entre tous les détenus, tout en continuant à communiquer avec l’opinion publique à chaque fois que cela est nécessaire pour exposer et dénoncer les erreurs visant à nuire à l’image du secteur et à la réputation du Maroc en matière de droits de l’homme à l’intérieur du pays et à l’étranger ».

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