Le régime algérien a récemment été confronté à un refus humiliant de la part des pays BRICS lorsqu’il a cherché à rejoindre ce groupe économique influent. Malgré les efforts déployés par le président Tebboune pour courtiser la Russie et obtenir l’appui nécessaire, l’Algérie a été exclue des cinq nouveaux candidats potentiels pour rejoindre les BRICS lors du sommet prévu en Afrique du Sud.
Le groupe économique « BRICS » a infligé un coup douloureux au régime algérien, qui a pendant des mois vendu des illusions à son peuple en promouvant sa proximité à l’adhésion au groupe mondial et les bénéfices de prospérité que les citoyens en retireraient.
Il a été officiellement confirmé que l’Algérie est absente de la liste des candidats à rejoindre le bloc, qui compte actuellement seulement cinq pays : la Russie, la Chine, l’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud.
Cette décision n’a pas été surprenante pour les analystes économiques mondiaux en raison de l’énorme disparité entre l’économie algérienne, qui est gonflée uniquement par les milliards de dollars provenant du gaz, et les économies des cinq pays membres du BRICS.
Ces derniers ont considéré que l’Algérie ne satisfait pas aux conditions économiques requises pour rejoindre le bloc, notamment en termes de faible PIB qui ne dépasse pas 170 milliards de dollars.